jueves, 17 de enero de 2008

Improvisation sur Pío Baroja




Dans l´élan de ceux qui ont déjà fait toute cela, parce que presque tout ce qu´un homme peut entreprendre dans sa vie a déjà été entrepris (il n´y a qu´à mieux faire) et englué dans la paresse qui m´empêche de faire alors que je sais que je dois, n´ayant pas envie de dessiner quelque chose de cohérent et construit, je me suis livré au dessin automatique a partir du portrait d´un des plus glorieux natifs de Saint Sébastien, Pío Baroja.




C´est a partir d´un des ces bustes que j´aime tellement dessiner que surgit une pléthore de petites conneries. Nous sommes en présence d´une oeuvre motivée par la facilité, pas tellement la facilité technique, mais l´aisance avec laquelle on laisse le crayon flâner. Cette mollesse nous protège de l´horror vacui, ou peur du vide, dont est cruellement victime l´insigne et prophétique artiste gréco-navarrais Mikelos Latinófilos (de dramatiques exemples sur http://eggjyhad.blogspot.com/) mais que nous rencontrons également dans l´art de civilisations disparues, comme dans un vase de l´époque du caliphat de Cordoue



ou ce vase minoïque connu comme "du Pulpele"



Peut être que je le completerai plus tard, ca comme glapissait Salomon Rotschild a qui voulait l´écouter: "Je suis désolé, mais pour moi Dreyfuss est plus coupable qu´un démon".

Shalom donc

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